espace detente (pv)

j'etait deboder et j'en avais trop mare tout ces papier commencer serieusement a m'enerver vus que j'etait seul a la direction et que je n'etait tres pas organiser cela ne ressembmler a rien sauf a un champ de bataille je dessida de me retirer au salon pour me reposer il n'y avais encore personne alors je m'assis sur un fauteuil et ferma les yeux quelque seconde en penssant a tout et a rien une jeune femme troubler mes pensser

(mes excuses pour le retard et pour le petit message)

Je m'étai levée tôt ce matin là, je n'arrivai pas à dormir. Mon voisin n'avait eu de cesse de râler après sa compagne d'un soir partie et moi je n'avais eu de cesse de remuer mes pensées à propos de ce mystérieux personnage que j'avais rencontré à la forêt. Perdue dans mes songes, je n'avais trouvé le repos.
Je décidai donc, vers huit heures, de me rendre au quartier général. Ce qui me permettrai de me renseigner sur ce type.
J'arrivai, après une heure de recherches inutiles, au salon des Evargs. En entrant, j'entendis qu'il y avait quelqu'un. C'était Kalintz.

« Bien le bonjour » Dis-je, d'un ton qui se voulait joyeux.

j'etais tranquillement dans mes reve quand j'en fut tirer par la voie d'une jeune fille, j'ouvrit doucement les yeux c'etait lust, je lui souri aparament j'etait pas le seul a etre insomniac car il etait tout de meme tres tot.

elle avait un ton tres heureux qui me parut etrange je la regarda dans les yeux elle avais un aire tres special cette jeune fille, tres mysterieuse, en la voyant je me dit que j'avais le clan ou il y avais les plus belle fille de la ville, cela me fit sourire de nouveau

"bien le bonjours a toi oci... que fait tu ici par un heure si matinal"

je bailla doucement et me leva pour aller me chercher a boire

"je te sert quelque chose..."

*il es 7 heure du math et je me sert un scotch j'ai un sacré probleme a rajouter a la liste que j'ai deja, faut que je me debarasse de cette merde, ou c'est elle qui vas me tuer...*

et une penssé innutile que j'allais oubliez dans quelque minute mais au moin j'en etais consient

[pas grave]

Il m'accueillie et me demandait ce que je faisais là par une heure si matinale, se servant un verre de scotch. Il me proposa ensuite quelque chose à boire. Je répondis, moitié riante :

« Pas du scotch en tout cas... Il n'y aurait pas du lait dans le coin ? »

Le lait c'était ma drogue à moi. Allez savoir pourquoi je devais en boire à peu près un litre par jour. Quoiqu'avant j'en buvais plus mais avec les bouteilles de verre qui se faisaient rare, on devait plus prendre des verres, c'était moins pratique, j'en buvais moins parce qu'avant cette consommation devait être de deux litres pas jours environ... Enfin, tout ça pour dire, à bas les emballage plastiques, verre pawaa...

« J'avais du boulot à faire je suis donc venue un peu plus tôt mais finalement je n'ai pas trouvé ce que je voulais donc je viens ici... Et toi, quoi par une heure si matinale ? »

En fait ça faisait maintenant deux semaines que j'étais dans mes recherches et rien. Rien à part ce frère venu de nul part. J'avais commencé mes recherches à son propos mais ce n'était pas si simple que je ne l'aurais pensé. Peut-être Kalintz savait-il quelque chose lui, qui sait ? Je le lui demanderait sûrement si mes recherches n'aboutissent vraiment pas.

(Gomen, J'avais oublié... ^^')

[pas grave]

du lait ou es qu'elle voulais que je trouve du lait moi au petit dejeuner boire du lait c'etait meme pas une idée qui me venez a l'espris je me rappella de mon anfance la ou je buver du lait avec des croissant et des chocolatine et ou je prener ma barre de cereal avant d'aller a l'ecole j'etait pitoyable, j'etait bien ^plus heureux maintenant... enfin je croi...es que c'etait la vie que je voulais celle ci, celle d'un alcoolique capricieux qui dirige un bande de degenter...non les membre des evarg etait ma famille et je les aimaient plus que tout pourquoi je douter comme ca. depuis la letttre que j'avais envoyais a mon espionne je perder la tete, le fait de la savoir pres de moi et de ne pas pouvoir la voir, et puis mokna et bie fallais que j'aille dormir je fatiguais

je mis un main sur mon front jevenz de me provquer un mal de crane

"du lait... peu etre dans le frigo"

j'alla voir et avec de la chance il y avais une bouteille de lait en verre ce n'etais pas moi qui l'avais mis la je regarda la date pour voir si il n'etait pas perimer et non il ne l'etait pas je souria

"tu as de la chance il y en a"

je lui servi un verre et lui amena puis pris mon verre et but

"je croi que je suis insomniaque tout simplement, ca fait plusieur nit que je dort plus vous me causer trop de soucis et je ne veut pas de cheveux pblanc"

je rigolas

"je prefere e pas dormir'"

Il me servit un verre de lait qu'il trouva miraculeusement dans le frigo. Une bouteille en verre qui plus est. Que du bonheur, dommage que je ne la puisse pas boire au goulot. Je calmai un petit rire intérieur et le remerciai en prenant le verre :

« Merci beaucoup »

Puis il me dit qu'il était certainement insomniaque, plaisantant que c'était à cause de nous puis avoue qu'il ne préférait pas dormir. C'était quelque chose de courant chez les gens qui avaient des problèmes ou de mauvais souvenirs, j'en savais quelque chose mais je savais aussi que c'était loin d'être une solution.

« Si je peux me permettre ça ne résoudra rien... Tu ferais mieux de dormir si tu veux vraiment ne pas te faire de cheveux blancs. »

Biensûr ce n'était pas à moi de dire ça mais où était le mal à s'occuper du chef de son clan... Je me tus, le laissant y réfléchir voir y répondre en buvant une gorgée de lait. Il était encore bon, heureusement. N'ayant qu'un verre de me retenais de tout boire d'un trait et, après avoir bu une à deux gorgées, que je ne sentis qu'à peine passer, je le regardais dans les yeux. Ou plutôt, mes yeux s'étaient dirigés vers les siens, je savais que les voyants avaient cette habitude. On m'avait dit que, dans mon cas, c'était d'autant plus pesant que les gens savaient que je ne regardais pas avec les yeux.

« Mais, ce n'est toujours qu'un conseil bien entendu. »

je souria et regarda la jeune fille boire son verre de lait ont aurais dit alors qu'elle etait en manque mais qu'elle fesais style qui lui en reste un peu je rigolas

la jeune fille me dit alors que ne pas dormir n'arrangerais pas les chose, malheureusement je le savais bien mais c'etait une facon pour moi de ne pas me reprocher se que j'avais fait

"je le sais bien...."

elle me regarda alors dans les yeux je ne baissa pas le regard sachan tres bien qu'elle ne me voyais pas

"que cherche tu as faire..a lire en moi...en essayant de regarder dans mes yeux"

j'alla dans le frigo et lui amena carement la bouteil de lait

"personne ne bois du lait ici alors bois le si tu en a envi"

puis je souri

"mais cheveux sonja blanc, et n'essay pas de lire en moi tu ne pourais plus dormir non plus"

je soupira et alla m'assoir dans le fauteuil, j'etait peu etre lache de ne plus vouloir affronter la verité en face... je soupira et regarda le feu qu'il y avais dans la cheminé et me dit que peu ere je ferais mieu de sauter dedant de mourir t'en qu'il me rester un soupson de fierté, meme si il ne m'en resté pas beaucoup...mais en fait j'etais trop lache pour mettre fin a mes jour ainci

J'inclinai la tête en guise de remerciement quand il me tendit la bouteille. La prenant, je la posai d'abord sur la table sans l'ouvrir, l'écoutant. Il m'avait l'air un peu perdu, non, il ne m'avait pas l'air perdu, il l'était. Alors même que je ne voyais pas, j'étais certaine de l'expression que refletait, ou qu'aurait reflété son visage s'il ne cachait pas ses émotions.
Il me demanda de ne pas essayer de lire en lui, prétendant que je ne parviendrait plus à dormir. Je me tus, baissai la tête sur ma bouteille et bus quelque gorgée de lait, écoutant ses soupirs. Je finis par répondre, quand tout fut plus calme.

« Je n'essaie de lire en personne, mais si tel était le cas je suis certaine que je n'arriverai pas moins à dormir en analysant ton esprit que celui d'un autre... Aussi grande soit-elle, nous avons tous notre partie d'obscurité, mais il y a des gens qui y résistent mieux que d'autres. Et toi, tu ne fais pas parti de ceux qui se laissent gagner par cette partie. Je n'ai pas besoin d'essayer de lire en toi pour le voir... »

J'avais fait tout ce discours sans même être sûre que je parlais de la bonne chose et pourtant il me semblait sur le moment que c'était un peu ce qui le déconcertait. Il me semblait qu'il était partagé intérieurement mais je ne savais ni par quoi ni pourquoi. J'évitais donc d'entrer dans des détails inutils. Je ne lui posai pas nonplus de question, certaine que ça l'importunerait plus qu'autre chose. Je rajoutai seulement :

« Mais ce n'est pas sans dormir que vous résoudrez le problème, vous ne ferez que l'aggraver. D'autant que vous avez, vous le savez, tout un clan qui vous est fidèle et qui vous suivra quoi que vous fassiez... Mais qui vous supportera aussi si besoin. »

Il était clair que si le sens de mes paroles étaient mal compris, ça n'arrangerait rien. Mais s'il comprenait, ça pourrait être d'un faible soutient, ce qui est parfois déjà beaucoup. J'espérait seulement qu'il le comprendrait comme il le fallait.